
Beau comme un synthé qui pleure ! A Paris un garçon rêveur, la trentaine et le cheveu coiffé new-wave, reprend la relève de la pop anglaise des années 80. Influencé par Cure, Depeche Mode, Siouxsie, The XX, les Smiths, My Bloody Valentine, Dear Eyes dévoile un premier EP vaporeux, aux synthés addictifs que l’on découvre avec le premier extrait Etretat. Happy Sad, le premier Ep de Dear Eyes travaille les ambiances, les nuances. De la pop teintée d'électronique cotonneuse, qui fait dans le clair-obscur lumineux.
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