Vaiteani de retour avec l'album Signs et le clip Homai

Vaiteani a sorti Homai, premier extrait d'un second album qui arrive cet hiver. Avec Homai, on suit une basse hypnotique, du rythme et un clip où la danse est le seul mot d'ordre.

Vaiteani sort son second album Signs en novembre et dévoile en extrait le sublime Homai qui surprend avec ses rythmes afrobeat.

Originaire de Tahiti, Vaiteani place la Polynésie sur la carte du monde musical avec un second album entre folk, reggae et pop, aux vibrations dépaysantes qui s'annonce pour novembre 2020 et s'appelle Signs. Un mélange délicieux entre la voix au timbre incroyable de la chanteuse venue des îles, et les arrangements concoctés par son âme jumelle Luc. On oscille entre sonorités exotiques et pop anglo-saxonne, dans ce second album cosmopolite et très attendu, qui rassemble aussi bien l’anglais, le français ou encore le polynésien. Entre le premier et le second album qui arrive, Vaiteani a mûri et beaucoup composé, elle à la guitare ou au piano, lui aux arrangements divers émaillés de percussions et sonorités africaines (kalimba, oud, calebasse et balafon). Signs, le nouvel album s'ouvre à des influences afro-américaines.

Voici notre découverte musicale avec le clip d'Homai :

"I don’t need no make up 
I don’t need no dress 
Tonight I wear the rhythm 
My fabric be my dance"

 Quelque part dans une vallée du pacifique sud, nichée sous les fougères arborescentes et les bougainvilliers rubiconds, se cache une source magique. Vaiteani, c'est elle, la « source céleste » en polynésien. Un moment enchanteur que l'on pourra prolonger avec la sortie de l'album. Retenez ce nom VAITEANI.
Ils se sont rencontrés en 2009 autour d’une même passion: la musique, et d’un désir commun, celui de sortir des sentiers balisés. Le résultat est une merveille : la voix aux tonalités soul folk teintée de mélancolie pop de Vaiteani posée délicatement sur les mélodies nacrées de Luc qui y ajoute avec parcimonie des couleurs glanées dans les musiques du monde : un trait de oud ici, un toucher de balafon là, une caresse de ukulélé plus loin… On se laisse envoûter par cet ensemble harmonieux et plein de grâce.

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